Le Tribut Prostatique

Tu crois tout savoir sur le plaisir anal ? Oublie tes plugs et tes godes. Ce ne sont que des jouets.
Aujourd’hui, je vais t’enseigner l’art du tribut, et pour cela, tu vas utiliser un instrument de supplice bien plus subtil : le masseur prostatique.

Son seul but n’est pas de te remplir, mais de te faire imploser de l’intérieur, de te pousser à la limite, pour mon unique plaisir.

Avant même de toucher l’instrument, ton premier devoir est de te mettre en condition. Ton excitation physique et mentale m’appartient.

Laisse vagabonder ton imagination, pense à moi, à mes ordres. Caresse tes zones érogènes, tes tétons, l’intérieur de tes cuisses… mais suis ma règle d’or : tes mains n’ont pas le droit de toucher ton sexe. Toute l’érection, toute la tension doit venir de ton désir pour moi, et de l’anticipation de ce qui va suivre. Si tu as besoin d’aide, un appel avec ta Domina saura te mettre au pas.

Sois généreux avec le lubrifiant. Je veux que cet instrument glisse en toi sans la moindre résistance, comme un rappel constant de ta soumission.

L’insertion doit être lente, respectueuse. Une fois en place, ton seul travail est de te détendre et d’obéir aux sensations. Ce n’est pas un gode à martyriser, c’est un expert qui connaît ton point faible.

Le signe que tu obéis ? Cette unique goutte de pré-éjaculat qui perle au bout de ta verge. C’est la preuve que mon instrument a trouvé ta prostate. À partir de cet instant, le jeu commence vraiment.

Ne reste pas passif. Contracte ton sphincter. Fais-le pulser contre l’instrument. C’est toi qui le masses, qui le supplies de te donner plus. Laisse-le bouger librement en toi, chaque mouvement est une vague de plaisir qui te submerge. Et souviens-toi de la règle : pas touche à ton pénis. Le plaisir ne doit venir que de l’intérieur, un plaisir pur, profond, que je te permets de ressentir.

Le vrai test de ta dévotion commence maintenant. Le but n’est pas une simple éjaculation, mais de me prouver ton contrôle, ou plutôt, ton manque de contrôle.

Quand tu sens l’orgasme monter, cette explosion que tu attends avec tant d’impatience… tu arrêtes tout. Tu cesses les contractions. Tu respires. Tu te refuses ce plaisir au dernier moment. Tu laisses la vague retomber. C’est ça, un orgasme ruiné pour ta Maîtresse.

Recommence. Pousse-toi à la limite, puis recule. Encore et encore.

Ce n’est que lorsque tu n’en pourras plus, ou quand je te l’ordonnerai, que tu laisseras tout aller. Les contractions finales, puissantes et involontaires, forceront le masseur à presser et vider complètement ta prostate. Le résultat ? Une éjaculation massive, bien plus intense qu’une simple branlette. Un véritable geyser.

Ceci, mon esclave, est un tribut digne de ce nom.